Musée de Royan : l'ancien marché de Pontaillac
Ce musée a ouvert ses portes en 2004.
La structure de l'ancien petit marché de Pontaillac s'y prêtait bien.
Une prise de vue de l'extérieur seule est en ligne.
Les photos à l'intérieur ne sont pas autorisées.
C'est bien dommage.
Cela m'incommode à chaque fois.
Autant je comprends la protection de certaines oeuvres fragiles et craignant les flashs, autant je n'approuve pas ce que je considère comme un frein à l'expansion de la culture.
Une prise de vue de l'extérieur seule est en ligne.
Les photos à l'intérieur ne sont pas autorisées.
C'est bien dommage.
Cela m'incommode à chaque fois.
Autant je comprends la protection de certaines oeuvres fragiles et craignant les flashs, autant je n'approuve pas ce que je considère comme un frein à l'expansion de la culture.
L'on y trouve aussi des documents relatifs à la reconstruction de la ville : ce qui m'intéressait le plus.
le marché central, en forme de coquillage renversé, en voile de béton armé de 8 cm d'épaisseur, le front de mer, l'ancien Casino, le nouveau, l'église de Notre Dame de l'architecte Guillaume Gillet,
dans laquelle je me suis mariée, nécessitant des travaux
de rénovation importants. (L'église et mon mariage aussi)
Des mobiliers d'époque - de récupération quelquefois - qui s'intégraient parfaitement à l'esprit épuré du moment, se voulant ainsi en rupture avec cette période d'avant la guerre.
Pour avoir tout de même une idée de ce qu'était l'intérieur,
du marché de Pontaillac, ci-dessous, caractéristique de l'architecture
des années 1950.
Ce musée donc, retrace d'une manière simple et claire l'histoire de la ville de Royan. Tristement connue parce quasiment entièrement bombardée
à la fin de la 2ème guerre mondiale, par les Anglais d'abord
et les Américains ensuite, pour déloger de cette dernière poche de résistance, les Allemands jusqu'auboutistes.
Des photos en noir & blanc montrent bien cette période apocalyptique.
Certaines villas d'entre les 2 guerres ont échappé à ce désastre - dont celle que mes grands parents bordelais avaient acquise - à 2 pas de ce musée, et dans laquelle je suis née. Photo ci-dessous.
Heureuse époque où des gens simples de la petite bourgeoisie pouvaient se permettre d'acheter des résidences de vacances relativement cossues. Sans être prestigieuses.
Aujourd'hui, même en résidence prinicipale, seule une frange plus réduite de population peut se le permettre.
à la fin de la 2ème guerre mondiale, par les Anglais d'abord
et les Américains ensuite, pour déloger de cette dernière poche de résistance, les Allemands jusqu'auboutistes.
Des photos en noir & blanc montrent bien cette période apocalyptique.
Certaines villas d'entre les 2 guerres ont échappé à ce désastre - dont celle que mes grands parents bordelais avaient acquise - à 2 pas de ce musée, et dans laquelle je suis née. Photo ci-dessous.
Heureuse époque où des gens simples de la petite bourgeoisie pouvaient se permettre d'acheter des résidences de vacances relativement cossues. Sans être prestigieuses.
Aujourd'hui, même en résidence prinicipale, seule une frange plus réduite de population peut se le permettre.
Villa Fleur de mai
Demain d'autres images de Royan en vrac.
A+++